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Sociologie Politique Explication de la Violence Politique
Sociologie des institutions et des pratiques politiques. les comportements politiques (aspo 1255), institut d'études politiques de paris.
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Aperçu du texte.
Parfois revendiquée mais souvent décriée et rejetée au sein des sociétés démocratiques, la violence en politique semble pourtant être une modalité d’action dans la sphère publique, bien que ce modèle ne soit pas conventionnel.
La violence semble devoir se mesurer de prime abord par la souffrance ressentie. La violence est tout d’abord physique, elle peut viser des êtres comme des biens et devenir ainsi destruction, dégradation, attentat ou encore obstruction. Un courant sociologique insiste sur l’existence de violences non immédiatement physiques, une violence qui n’a alors pas pour cible les corps mais plutôt les potentialités d’action, les statuts sociaux ou encore les représentations auxquelles se référent les acteurs. On parle alors de violences symboliques, sur lesquels les sociologues Michel Foucault et Pierre Bourdieu notamment se sont penchés. Le sociologue Philippe Braud insiste sur la proximité entre les formes de la violence qui s’alimentent mutuellement. Si l’étude des violences politiques s’attache particulièrement aux cas où il existe un critère matériel, autrement dit sur les violences physiques, il est important de souligner qu’il existe d’autres formes de violence qui peuvent être d’autant plus insidieuses qu’elles sont quasiment invisibles, intériorisées aussi bien chez ceux qui la pratiquent que chez ceux qui la subissent.
Avec l’avènement des sociétés démocratiques, on assiste à une disparition de ce qu’était la violence collective traditionnelle et presque tous les acteurs de la vie publique et politique renoncent aux armes. Pourtant, nos sociétés démocratiques ne se définissent pas par l’exclusion de la violence politique mais se voient confrontées à de nouvelles formes.
Nous nous demanderons alors dans quelle mesure la violence politique s’exprime-t-elle en démocratie?
Dans un premier temps, je tâcherai de donner une explication de la violence politique, en décrivant ses critères de caractérisation puis les différentes formes qu’elle peut revêtir, et ensuite dans un second temps, nous aborderons la question de l’expression de la violence au sein des sociétés démocratiques.
I. L’explication de la violence politique A. Caractérisation d’une violence comme étant politique 1) Trois critères principaux
La violence politique est distincte des autres formes de violences et se caractérise par trois éléments principaux : la cible de la violence, l’intentionnalité et les effets que produisent cette violence.
- Le premier critère est celui de la cible des violences : Ted Gurr, politologue américain, définit la violence politique comme « tout type d’attaques au sein d’une communauté politique contre un régime politique, ses acteurs ou ses politiques publiques ». Sa définition se réfère dont à des violences dirigées contre l’Etat ou contre des services publics, ce qui relève sûrement des formes les plus visibles de violences politique mais qui n’en épuisent pas les contours.
- La deuxième variable est celle de l’intentionnalité des acteurs violents : Ted Honderich , philosophe et sociologue définit la violence politique comme : « un usage, considérable et destructeur, de la force contre des personnes ou des biens, interdit par la loi, dirigé vers un changement de politiques, de personnel politique ou de système de gouvernement, et,
aussi, dirigé vers des changements dans l’existence des individus dans la société et dans d’autres sociétés ». Mais certains actes de violence ont pu n’avoir aucune intention politique et pourtant aboutir à de profondes modifications législatives. Aussi, des violences d’Etat ou d’acteurs politiques peuvent être dénuées de conséquences politiques car demeurent invisibles. 3) Le troisième critère semble être le plus important et renvoie à la définition désormais consensuelle de Harold Nieburg : « des actes de désorganisation, destruction, blessures dont l’objet, le choix des cibles ou les victimes, les circonstances, l’exécution et/ou les effets acquièrent une signification politique, c’est-à-dire tendent à modifier le comportement d’autrui dans une situation de marchandage qui a des conséquences sur le système social » 1**.** Cette définition prend donc en compte des actes indépendamment de l’auteur ou de la cible, dont les effets seront directs dans la sphère politique.
A partir de ces critères de caractérisation, a pu être construite une certaine typologie de la violence politique en fonction de leur nature, de leur origine et de leur fonction.
2) Une typologie des violences politiques
(Tableau typologie)
Violences infra-politique Violences de négociation politique Violences méta-politiques non transactionnelles
Quatres sources originaires des violences politiques :
- L’Etat, qu’il soit démocratique, autoritaire ou totalitaire. Repose sur des forces régulières et institutionnalisées ou sur des forces paramilitaires. Armée, police, gendarmerie, forces spéciales, appareillage administratif souvent acteurs plus visibles de la violence d’Etat qui n’a pourtant pas toujours le visage de la légalité.
- Les mouvements protestataires, organisations syndicales, mouvements sociaux, groupes armés clandestins, partis politiques, groupes d’intérêt constitué...
- Violences inter-groupales, communautaires sur des bases ethniques ou religieuses
- Violence de terrorisation principalement fait organisations clandestines politiques ou politico-mafieuse volonté fragilisation de l’Etat en s’attaquant à l’intégrité de sa population. Climat de terreur auprès de la société civile pour s’imposer dans l’espace public.
B. Les différentes formes des violences politiques 1) Les caractéristiques des violences politiques
Selon Philippe Braud, sociologue français, deux formes de violences sont à distinguer :
1 Nieburg, 1969, p (quel livre ?)
Il renvoie en effet aux formes classiques de la violence politique (ceux qui prennent les armes en revendiquant un but politique et sollicitant une réponse de l’État) mais également à des formes plus nouvelles car souvent la cible est l’Etat en tant que représentant de la Nation et de puissance néo-coloniale mais aussi parce que souvent le recrutement d’individus sensibilisés au sort de ce qu’on appelle les « banlieues », et donc liés à la question sociale. Le terrorisme d’inspiration islamiste ne représente que 7% des violences politiques en France mais est la cause pourtant de 70% de ses victimes.
Les démocraties, et particulièrement ici la France, fait face à des formes plus nouvelles de violence politique.
A. Des formes plus nouvelles de la violence politique 1) Des violences liées à la question sociale
En France, la délinquance est devenue un problème directement politique de par son association avec la nouvelle question sociale. En effet, selon Denis Merklen, ce phénomène de délinquance peut être associé à la présence, à la périphérie des grandes villes, d’un nouveau segment des classes populaires que la plupart du temps on appelle « les banlieues ». Dans ces quartiers vivent des catégories de populations qui se voient déterminées par la montée du chômage et l’appauvrissement en général. Mais ces catégories sont également surdéterminées par l’histoire coloniale, les formes d’intégration sociale réservées aux migrants des anciennes colonies et également par leur inscription territoriale, à la périphérie des villes et dont il est difficile de s’extraire.
L’association qui a pu être faite entre banlieues et violences est une stigmatisation souvent reprise dans les médias et par les hommes politiques avec des éléments de langage tels que « zones de non-droit » ou encore « ensauvagement ». C’est pourtant un nouveau répertoire d’action collective qui a vu le jour, qualifié tout d’abord dans les années 1980 de « violences urbaines » pour ensuite être qualifiées d’ « émeutes ». Il peut clairement être considéré que ces mouvements de révolte collective sont directement liés aux déterminations et surdéterminations qui pèsent sur certaines catégories de la population française, et notamment des classes populaires.
2) Des violences liées à l’action de l’Etat
Ces mouvements ont également un lien immédiat avec les interventions de l’Etat dans ces territoires. Ils trouvent leur épicentre notamment dans l’action de la police à l’égard de ces mêmes populations. L’un des facteurs de politisation de ces violences est le sentiment de plus en plus partagé de l’usage illégitime que fait la police de la force. De plus, le caractère récurrent de ces violences, dont les cibles sont toujours des individus des mêmes catégories de population renforce ce sentiment. En effet, la quasi-totalité de ce qui a ensuite été qualifiée d’ »émeutes » viennent en réponse à la mort d’un jeune dans le cadre d’une confrontation avec la police. On peut citer ici les émeutes de 2005 de suite à la mort de deux jeunes adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, le 27 octobre 2005, électrocutés dans l’enceinte d’un poste électrique alors qu’ils cherchaient à échapper à un contrôle de police. Plus récemment, en 2019, ont à nouveau eu
lieu des émeutes suite à la mort de deux jeunes adolescents en scooter alors qu’ils étaient poursuivis par une voiture de police.
L’action policière a donc un caractère politisante dans l’ensemble du conflit qui a lieu entre l’Etat et les classes populaires car il apparaît fréquent qu’elle réserve le même type de répression (souvent illégale) aux faits qui relèvent en principe du droit commun et aux soulèvements collectifs.
(Une enquête du média indépendant Street Press parue en 2017 recense 47 morts (tous non-armés) suite à l’intervention de la police depuis 2007, sans qu’aucun des policiers ou gendarme impliqué ne finisse en prison. Un rapport de l’IGPN recensait en 2019 une augmentation significative des violences policières. En effet, le nombre de dossiers qui lui a été confié dans l’année s’élève à 1460 dont 838 pour violences volontaires. Augmentation de 41% par rapport à 2018 notamment liée au mouvement des Gilets Jaunes, dont 310 dossiers concernaient ce mouvement. Pour la seule année 2019, 19 morts ont été recensés suite à une intervention de la police.)
Le caractère inédit du mouvement des Gilets Jaunes se trouve aussi bien dans la mobilisation collective des classes populaires moyennes et basses, que dans la répression qui en a été faite par l’Etat par le biais de ses acteurs régaliens tels que les forces de l’ordre. En effet, cette mobilisation qui a duré près de deux ans s’est soldée par des milliers de blessés, manifestants et policiers et par plusieurs morts.
Conclusion :
Les soupçons de partialité de la Justice à l’égard des forces de l’ordre, des hommes politiques et des énarques ou hauts fonctionnaires de l’Etat dans la société française contribuent à la politisation de la violence au sein de notre démocratie. Ces soupçons exacerbés d’impunité de la part des populations les plus favorisées contribue à une distance qui se creuse entre les gouvernants et les gouvernés. Si les formes de la violence politique ont évolué et se sont adaptées au cadre de nos sociétés modernes, elle est toujours présente et peut parfois resurgir nettement et menacer la stabilité du paysage politique. A l’heure où notre système démocratique est remis en question, il convient de s’attarder sur l’augmentation des menaces de violences politiques ou du passage à l’acte notamment de la part de militants idéologiques. Si toute violence n’est pas politique et que la politique n’est pas seulement violence, comme le précise Merklen, il ne convient pas de séparer totalement ces deux notions car cela pourrait empêcher de comprendre réellement les violences qui émergent au sein des sociétés démocratiques.
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Matière : Sociologie des institutions et des pratiques politiques. Les comportements politiques (ASPO 1255)
Université : institut d'études politiques de paris.
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La violence, un outil politique
Par Constance de Lannoy • 20 Mars 2016 • Dissertation • 5 166 Mots (21 Pages) • 4 965 Vues
INTRODUCTION :
Le sujet qui nous est proposé est « La violence, un outil politique ».
La violence a toujours été utilisée comme une « arme », comme un moyen d’accéder au pouvoir, et de le conserver. La violence est une action par laquelle la personne tente d'établir un rapport de force avec une autre personne. La violence ne donne pas d'importance aux besoins et émotions de l'autre. La personne utilisant des comportements violents force l'autre à agir contre son gré sans respecter ses droits. Pour nous, la violence n'est pas une caractéristique de l'individu, mais plutôt un moyen utilisé pour atteindre ses buts. Voilà pourquoi nous parlons d'un individu utilisant des comportements violents et non d'une personne violente.
La violence est l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance. Plusieurs types de violence sont distinguées. Leurs définitions parfois contradictoires varient selon les époques, les milieux, les lieux, les évolutions sociales, technologiques etc. Nous parlerons ici de violence politique. La violence politique regroupe tous les actes violents que leurs auteurs légitiment au nom d'un objectif politique ( révolution , résistance à l'oppression , droit à l'insurrection , tyrannicide , « juste cause »).
Certaines formes de réponses violentes mais proportionnées (et de résistance ou servant le rétablissement de l' état de droit ), quand d'autres solutions ne sont plus possibles sont couramment admise, par la morale et le droit et selon la doctrine des droits de l'homme en cas de légitime défense par exemple, ou d' état de nécessité , en cas de résistance à l'oppression d'une tyrannie . Selon la définition classique de Max Weber dans Le Savant et le politique (1919), « l' État revendique le monopole de la violence légitime ». Historiquement, l'État moderne s'est construit en défaisant les autres groupes du droit d'utiliser la violence pour leur propre compte. Pour illustrer notre propos, nous prendrons l’exemple des régimes totalitaires. En effet, le totalitarisme est un régime à parti unique , n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l' État tend à confisquer la totalité des activités de la société. C'est un concept forgé au xx e siècle, durant l' entre-deux-guerres , avec une apparition concomitante en Italie, en Allemagne et en URSS .
Il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.
Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : un monopole idéologique, c'est-à-dire la conception d'une vérité qui ne supporte aucun doute, qui est imposée à tous et qui est généralement orientée vers la lutte contre les ennemis du régime, un parti unique contrôlant la totalité de l'appareil étatique c'est-à-dire disposant de l'ensemble des moyens de communication de masse qu'il utilise comme des instruments de propagande , qui crée des structures d'embrigadement de chaque catégorie de la société et qui dispose d'une direction centrale de l' économie . Le parti unique est dirigé idéalement par un chef charismatique et autour duquel est formé un « culte du chef », faisant de lui plus qu'un simple dictateur mais plutôt un guide pour son peuple, lui seul en connaissant les véritables aspirations. Un monopole de la force armée , un système à la fois policier qui a recours à la terreur avec par exemple un réseau omniprésent d'agents dormants et de surveillance des individus, basée sur la suspicion, la dénonciation et la délation. Ainsi ces systèmes ont systématiquement recours à la violence, l' emprisonnement , la torture et l'élimination physique des opposants ou personnes soupçonnées comme telles, et la déportation des groupes de citoyens jugés « suspects », « inutiles » ou « nuisibles ».
Nous nous demanderons alors en quoi la violence politique est au cœur du fonctionnement des régimes totalitaires ?
Nous répondrons à cette problématique en trois parties. Dans une première partie, nous définirons la notion de « violence politique », puis, nous montrerons dans une deuxième partie que la violence est un moyen d’accession au pouvoir, enfin, dans une dernière partie, nous verrons comment les régimes totalitaires utilisent la violence pour conserver le pouvoir.
Problématique : En quoi la violence politique est au cœur du fonctionnement des régimes totalitaires ?
- La notion de violence politique :
- Définitions ;
- Autoritarisme et violence politique ;
- Contrôle social et violence politique.
- La violence, un moyen d’accéder au pouvoir :
- Intimidation par la violence pour accéder au pouvoir ;
- Un coup d’état brutal pour accéder au pouvoir ;
- Eliminer ses opposants pour accéder au pouvoir.
- La violence, un moyen de conserver le pouvoir :
- Une société manipulée ;
- Une société encadrée ;
- Une société terrorisée.
I. La notion de violence politique :
La violence politique est un concept utilisé en sciences sociales et politiques qui fait référence à « des destructions ou des atteintes physiques dont le but, le choix des cibles ou des victimes, la mise en œuvre et/ou l'effet ont une signification politique et tendent à modifier le comportement des protagonistes dans une situation de négociation ». Le concept recouvre de nombreuses activités. Dans le contexte de conflits armés, son spectre comprend des actes ou des événements comme la tentative isolée d' assassinats , la guérilla locale ou à petite échelle, la rébellion armée ou la résistance , le terrorisme politique, l' état de terreur , la répression ou la guerre . La violence politique s'exprime également en dehors de conflits armés, par exemple au travers du contrôle social exercé par l'État ou une de ses réponses, la menace de violence envers soi-même. L'usage du concept de « violence politique » a pour objectif de prendre de la distance par rapport au caractère légitime ou non de son expression pour au contraire se focaliser sur son caractère coercitif (l'usage de la force ou sa menace) et sur les moyens pour la réguler. L'étude de la « violence politique » s'intéresse à la place de l'usage de la force dans les systèmes politiques, démocratiques ou non. Les premiers travaux remontent aux années 1970 avec Ted Robert Gurr et Harold L. Nieburg . Ce dernier en particulier lui a donné une définition souvent reprise à savoir : « les actes de désorganisation, destruction, blessures, dont l'objet, le choix des cibles ou des victimes, les circonstances, l'exécution, et/ou les effets acquièrent une signification politique, c'est-à-dire tendent à modifier le comportement d'autrui dans une situation de marchandage qui a des conséquences sur le système social ». Cette approche est liée à la volonté de nombreux auteurs, principalement américains, de ne prendre en compte dans la « violence politique » que « des actes quantifiables et mesurables », par exemple les nombres d'émeutes ou de grèves..., pour extraire le concept « de tout contexte normatif d'évaluation et de jugement »
Tout pouvoir, quel qu’il soit, détient une autorité. On le qualifiera d’autoritaire s’il utilise arbitrairement la violence. On parle d’autoritarisme d’abord quand un pouvoir abuse de son autorité en usant plus de la force que de la persuasion. Mais si l’abus d’autorité peut le rendre illégitime à nos yeux d’occidentaux, ce n’est pas nécessairement le cas aux yeux des populations qu’il peut concerner.
On peut considérer que toute forme de contrôle social qui barre une aspiration, impose des opinions ou des comportements, perturbe une trajectoire sociale ou un cadre de vie et qui s’impose massivement à un ensemble d’individus ou à un groupe social est une forme de violence politique, ceci qu’elle soit ou non ressentie comme telle.
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8 – La violence/Méthodologie : le dialogue contre la violence ?
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Sujet : le dialogue contre la violence ?
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Cox, Wayne S. "States, social systems and violence : a socio-centric conceptualization of structural violence." Ottawa, 1990.
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