• Tu n'as pas encore d'articles récents.
  • Tu n'as pas encore de cours.
  • Tu n'as pas encore the livres.
  • Tu n'as pas encore de Studylists.
  • Information

Sociologie Politique Explication de la Violence Politique

Sociologie des institutions et des pratiques politiques. les comportements politiques (aspo 1255), institut d'études politiques de paris.

Student

Commentaires

Les étudiants ont également consulté.

  • Class 6 Unpaid work - Notes de cours 6- Sociologie du genre
  • Brouillon + correctiondissert "le législateur et l'histoire"
  • Le syllogisme juridique
  • Fiche d'arrêt Blanco
  • Narcisse à travers les Arts Mathilde Boulanger
  • Synthèse d'article Baldwin et Simons

Autres documents relatifs

  • Cours 5 Le Levant séleucide (200-164 avant JC)- histoire ancienne
  • Anthropologie appliquée à l'archéologie
  • Essai libre-Elsa Blaise
  • Posner READING FOR CLASS
  • Final exam ManECON 2020
  • Aneantissement et genocide

Studylists liées

Aperçu du texte.

Parfois revendiquée mais souvent décriée et rejetée au sein des sociétés démocratiques, la violence en politique semble pourtant être une modalité d’action dans la sphère publique, bien que ce modèle ne soit pas conventionnel.

La violence semble devoir se mesurer de prime abord par la souffrance ressentie. La violence est tout d’abord physique, elle peut viser des êtres comme des biens et devenir ainsi destruction, dégradation, attentat ou encore obstruction. Un courant sociologique insiste sur l’existence de violences non immédiatement physiques, une violence qui n’a alors pas pour cible les corps mais plutôt les potentialités d’action, les statuts sociaux ou encore les représentations auxquelles se référent les acteurs. On parle alors de violences symboliques, sur lesquels les sociologues Michel Foucault et Pierre Bourdieu notamment se sont penchés. Le sociologue Philippe Braud insiste sur la proximité entre les formes de la violence qui s’alimentent mutuellement. Si l’étude des violences politiques s’attache particulièrement aux cas où il existe un critère matériel, autrement dit sur les violences physiques, il est important de souligner qu’il existe d’autres formes de violence qui peuvent être d’autant plus insidieuses qu’elles sont quasiment invisibles, intériorisées aussi bien chez ceux qui la pratiquent que chez ceux qui la subissent.

Avec l’avènement des sociétés démocratiques, on assiste à une disparition de ce qu’était la violence collective traditionnelle et presque tous les acteurs de la vie publique et politique renoncent aux armes. Pourtant, nos sociétés démocratiques ne se définissent pas par l’exclusion de la violence politique mais se voient confrontées à de nouvelles formes.

Nous nous demanderons alors dans quelle mesure la violence politique s’exprime-t-elle en démocratie?

Dans un premier temps, je tâcherai de donner une explication de la violence politique, en décrivant ses critères de caractérisation puis les différentes formes qu’elle peut revêtir, et ensuite dans un second temps, nous aborderons la question de l’expression de la violence au sein des sociétés démocratiques.

I. L’explication de la violence politique A. Caractérisation d’une violence comme étant politique 1) Trois critères principaux

La violence politique est distincte des autres formes de violences et se caractérise par trois éléments principaux : la cible de la violence, l’intentionnalité et les effets que produisent cette violence.

  • Le premier critère est celui de la cible des violences : Ted Gurr, politologue américain, définit la violence politique comme « tout type d’attaques au sein d’une communauté politique contre un régime politique, ses acteurs ou ses politiques publiques ». Sa définition se réfère dont à des violences dirigées contre l’Etat ou contre des services publics, ce qui relève sûrement des formes les plus visibles de violences politique mais qui n’en épuisent pas les contours.
  • La deuxième variable est celle de l’intentionnalité des acteurs violents : Ted Honderich , philosophe et sociologue définit la violence politique comme : « un usage, considérable et destructeur, de la force contre des personnes ou des biens, interdit par la loi, dirigé vers un changement de politiques, de personnel politique ou de système de gouvernement, et,

aussi, dirigé vers des changements dans l’existence des individus dans la société et dans d’autres sociétés ». Mais certains actes de violence ont pu n’avoir aucune intention politique et pourtant aboutir à de profondes modifications législatives. Aussi, des violences d’Etat ou d’acteurs politiques peuvent être dénuées de conséquences politiques car demeurent invisibles. 3) Le troisième critère semble être le plus important et renvoie à la définition désormais consensuelle de Harold Nieburg : « des actes de désorganisation, destruction, blessures dont l’objet, le choix des cibles ou les victimes, les circonstances, l’exécution et/ou les effets acquièrent une signification politique, c’est-à-dire tendent à modifier le comportement d’autrui dans une situation de marchandage qui a des conséquences sur le système social » 1**.** Cette définition prend donc en compte des actes indépendamment de l’auteur ou de la cible, dont les effets seront directs dans la sphère politique.

A partir de ces critères de caractérisation, a pu être construite une certaine typologie de la violence politique en fonction de leur nature, de leur origine et de leur fonction.

2) Une typologie des violences politiques

(Tableau typologie)

 Violences infra-politique  Violences de négociation politique  Violences méta-politiques non transactionnelles

Quatres sources originaires des violences politiques :

  • L’Etat, qu’il soit démocratique, autoritaire ou totalitaire. Repose sur des forces régulières et institutionnalisées ou sur des forces paramilitaires. Armée, police, gendarmerie, forces spéciales, appareillage administratif souvent acteurs plus visibles de la violence d’Etat qui n’a pourtant pas toujours le visage de la légalité.
  • Les mouvements protestataires, organisations syndicales, mouvements sociaux, groupes armés clandestins, partis politiques, groupes d’intérêt constitué...
  • Violences inter-groupales, communautaires sur des bases ethniques ou religieuses
  • Violence de terrorisation principalement fait organisations clandestines politiques ou politico-mafieuse volonté fragilisation de l’Etat en s’attaquant à l’intégrité de sa population. Climat de terreur auprès de la société civile pour s’imposer dans l’espace public.

B. Les différentes formes des violences politiques 1) Les caractéristiques des violences politiques

Selon Philippe Braud, sociologue français, deux formes de violences sont à distinguer :

1 Nieburg, 1969, p (quel livre ?)

Il renvoie en effet aux formes classiques de la violence politique (ceux qui prennent les armes en revendiquant un but politique et sollicitant une réponse de l’État) mais également à des formes plus nouvelles car souvent la cible est l’Etat en tant que représentant de la Nation et de puissance néo-coloniale mais aussi parce que souvent le recrutement d’individus sensibilisés au sort de ce qu’on appelle les « banlieues », et donc liés à la question sociale. Le terrorisme d’inspiration islamiste ne représente que 7% des violences politiques en France mais est la cause pourtant de 70% de ses victimes.

Les démocraties, et particulièrement ici la France, fait face à des formes plus nouvelles de violence politique.

A. Des formes plus nouvelles de la violence politique 1) Des violences liées à la question sociale

En France, la délinquance est devenue un problème directement politique de par son association avec la nouvelle question sociale. En effet, selon Denis Merklen, ce phénomène de délinquance peut être associé à la présence, à la périphérie des grandes villes, d’un nouveau segment des classes populaires que la plupart du temps on appelle « les banlieues ». Dans ces quartiers vivent des catégories de populations qui se voient déterminées par la montée du chômage et l’appauvrissement en général. Mais ces catégories sont également surdéterminées par l’histoire coloniale, les formes d’intégration sociale réservées aux migrants des anciennes colonies et également par leur inscription territoriale, à la périphérie des villes et dont il est difficile de s’extraire.

L’association qui a pu être faite entre banlieues et violences est une stigmatisation souvent reprise dans les médias et par les hommes politiques avec des éléments de langage tels que « zones de non-droit » ou encore « ensauvagement ». C’est pourtant un nouveau répertoire d’action collective qui a vu le jour, qualifié tout d’abord dans les années 1980 de « violences urbaines » pour ensuite être qualifiées d’ « émeutes ». Il peut clairement être considéré que ces mouvements de révolte collective sont directement liés aux déterminations et surdéterminations qui pèsent sur certaines catégories de la population française, et notamment des classes populaires.

2) Des violences liées à l’action de l’Etat

Ces mouvements ont également un lien immédiat avec les interventions de l’Etat dans ces territoires. Ils trouvent leur épicentre notamment dans l’action de la police à l’égard de ces mêmes populations. L’un des facteurs de politisation de ces violences est le sentiment de plus en plus partagé de l’usage illégitime que fait la police de la force. De plus, le caractère récurrent de ces violences, dont les cibles sont toujours des individus des mêmes catégories de population renforce ce sentiment. En effet, la quasi-totalité de ce qui a ensuite été qualifiée d’ »émeutes » viennent en réponse à la mort d’un jeune dans le cadre d’une confrontation avec la police. On peut citer ici les émeutes de 2005 de suite à la mort de deux jeunes adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, le 27 octobre 2005, électrocutés dans l’enceinte d’un poste électrique alors qu’ils cherchaient à échapper à un contrôle de police. Plus récemment, en 2019, ont à nouveau eu

lieu des émeutes suite à la mort de deux jeunes adolescents en scooter alors qu’ils étaient poursuivis par une voiture de police.

L’action policière a donc un caractère politisante dans l’ensemble du conflit qui a lieu entre l’Etat et les classes populaires car il apparaît fréquent qu’elle réserve le même type de répression (souvent illégale) aux faits qui relèvent en principe du droit commun et aux soulèvements collectifs.

(Une enquête du média indépendant Street Press parue en 2017 recense 47 morts (tous non-armés) suite à l’intervention de la police depuis 2007, sans qu’aucun des policiers ou gendarme impliqué ne finisse en prison. Un rapport de l’IGPN recensait en 2019 une augmentation significative des violences policières. En effet, le nombre de dossiers qui lui a été confié dans l’année s’élève à 1460 dont 838 pour violences volontaires. Augmentation de 41% par rapport à 2018 notamment liée au mouvement des Gilets Jaunes, dont 310 dossiers concernaient ce mouvement. Pour la seule année 2019, 19 morts ont été recensés suite à une intervention de la police.)

Le caractère inédit du mouvement des Gilets Jaunes se trouve aussi bien dans la mobilisation collective des classes populaires moyennes et basses, que dans la répression qui en a été faite par l’Etat par le biais de ses acteurs régaliens tels que les forces de l’ordre. En effet, cette mobilisation qui a duré près de deux ans s’est soldée par des milliers de blessés, manifestants et policiers et par plusieurs morts.

Conclusion :

Les soupçons de partialité de la Justice à l’égard des forces de l’ordre, des hommes politiques et des énarques ou hauts fonctionnaires de l’Etat dans la société française contribuent à la politisation de la violence au sein de notre démocratie. Ces soupçons exacerbés d’impunité de la part des populations les plus favorisées contribue à une distance qui se creuse entre les gouvernants et les gouvernés. Si les formes de la violence politique ont évolué et se sont adaptées au cadre de nos sociétés modernes, elle est toujours présente et peut parfois resurgir nettement et menacer la stabilité du paysage politique. A l’heure où notre système démocratique est remis en question, il convient de s’attarder sur l’augmentation des menaces de violences politiques ou du passage à l’acte notamment de la part de militants idéologiques. Si toute violence n’est pas politique et que la politique n’est pas seulement violence, comme le précise Merklen, il ne convient pas de séparer totalement ces deux notions car cela pourrait empêcher de comprendre réellement les violences qui émergent au sein des sociétés démocratiques.

  • Choix multiple
  • Fiches de révision

Matière : Sociologie des institutions et des pratiques politiques. Les comportements politiques (ASPO 1255)

Université : institut d'études politiques de paris.

dissertation violence politique

  • Plus de : ScPo L3 de Raphaëlle Roger 14 14 documents Aller à la Studylist

DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche

  • Arts (3 191)
  • Histoire et géographie (3 748)
  • Langues (359)
  • Littérature (8 097)
  • Loisirs, mode de vie (2 803)
  • Médecine, sciences et techniques (9 305)
  • Monde du travail, droit et économie (8 487)
  • Philosophie (3 431)
  • Religion, croyances et spiritualité (2 587)
  • Sciences humaines et sociales (6 560)
  • Archives du baccalauréat (624)
  • Divers (4 734)
  • Page d'accueil
  • / Histoire et géographie

La violence, un outil politique

Par Constance de Lannoy   •  20 Mars 2016  •  Dissertation  •  5 166 Mots (21 Pages)  •  4 965 Vues

INTRODUCTION :

Le sujet qui nous est proposé est « La violence, un outil politique ».

La violence a toujours été utilisée comme une « arme », comme un moyen d’accéder au pouvoir, et de le conserver. La violence est une action par laquelle la personne tente d'établir un rapport de force avec une autre personne. La violence ne donne pas d'importance aux besoins et émotions de l'autre. La personne utilisant des comportements violents force l'autre à agir contre son gré sans respecter ses droits.  Pour nous, la violence n'est pas une caractéristique de l'individu, mais plutôt un moyen utilisé pour atteindre ses buts. Voilà pourquoi nous parlons d'un individu utilisant des comportements violents et non d'une personne violente.

La violence est l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance. Plusieurs types de violence sont distinguées. Leurs définitions parfois contradictoires varient selon les époques, les milieux, les lieux, les évolutions sociales, technologiques etc. Nous parlerons ici de violence politique. La violence politique regroupe tous les actes violents que leurs auteurs légitiment au nom d'un objectif politique ( révolution , résistance à l'oppression , droit à l'insurrection , tyrannicide , « juste cause »).

Certaines formes de réponses violentes mais proportionnées (et de résistance ou servant le rétablissement de l' état de droit ), quand d'autres solutions ne sont plus possibles sont couramment admise, par la morale et le droit et selon la doctrine des droits de l'homme   en cas de légitime défense  par exemple, ou d' état de nécessité , en cas de résistance à l'oppression  d'une tyrannie . Selon la définition classique de Max Weber  dans Le Savant et le politique  (1919), « l' État  revendique le monopole de la violence légitime  ». Historiquement, l'État moderne s'est construit en défaisant les autres groupes du droit d'utiliser la violence pour leur propre compte. Pour illustrer notre propos, nous prendrons l’exemple des régimes totalitaires. En effet, le totalitarisme est un régime à parti unique , n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l' État  tend à confisquer la totalité des activités de la société. C'est un concept forgé au xx e  siècle, durant l' entre-deux-guerres , avec une apparition concomitante en Italie, en Allemagne et en URSS .

Il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature  classique. Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie  obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : un monopole idéologique, c'est-à-dire la conception d'une vérité qui ne supporte aucun doute, qui est imposée à tous et qui est généralement orientée vers la lutte contre les ennemis du régime, un parti unique contrôlant la totalité de l'appareil étatique c'est-à-dire disposant de l'ensemble des moyens de communication de masse qu'il utilise comme des instruments de propagande , qui crée des structures d'embrigadement de chaque catégorie de la société et qui dispose d'une direction centrale de l' économie . Le parti unique est dirigé idéalement par un chef charismatique  et autour duquel est formé un « culte du chef », faisant de lui plus qu'un simple dictateur mais plutôt un guide pour son peuple, lui seul en connaissant les véritables aspirations. Un monopole de la force armée , un système à la fois policier qui a recours à la terreur  avec par exemple un réseau omniprésent d'agents dormants et de surveillance des individus, basée sur la suspicion, la dénonciation et la délation. Ainsi ces systèmes ont systématiquement recours à la violence, l' emprisonnement , la torture  et l'élimination physique des opposants ou personnes soupçonnées comme telles, et la déportation  des groupes de citoyens jugés « suspects », « inutiles » ou « nuisibles ».

Nous nous demanderons alors en quoi la violence politique est au cœur du fonctionnement des régimes totalitaires ?

Nous répondrons à cette problématique en trois parties. Dans une première partie, nous définirons la notion de « violence politique », puis, nous montrerons dans une deuxième partie que la violence est un moyen d’accession au pouvoir, enfin, dans une dernière partie, nous verrons comment les régimes totalitaires utilisent la violence pour conserver le pouvoir.

Problématique  : En quoi la violence politique est au cœur du fonctionnement des régimes totalitaires ?

  • La notion de violence politique :
  • Définitions ;
  • Autoritarisme et violence politique ;
  • Contrôle social et violence politique.
  • La violence, un moyen d’accéder au pouvoir :
  • Intimidation par la violence pour accéder au pouvoir ;
  • Un coup d’état brutal pour accéder au pouvoir ;
  • Eliminer ses opposants pour accéder au pouvoir.
  • La violence, un moyen de conserver le pouvoir :
  • Une société manipulée ;
  • Une société encadrée ;
  • Une société terrorisée.

 I. La notion de violence politique :

La violence politique est un concept utilisé en sciences sociales  et politiques  qui fait référence à « des destructions ou des atteintes physiques dont le but, le choix des cibles ou des victimes, la mise en œuvre et/ou l'effet ont une signification politique et tendent à modifier le comportement des protagonistes dans une situation de négociation  ». Le concept recouvre de nombreuses activités. Dans le contexte de conflits armés, son spectre comprend des actes ou des événements comme la tentative isolée d' assassinats , la guérilla  locale ou à petite échelle, la rébellion  armée ou la résistance , le terrorisme  politique, l' état de terreur , la répression  ou la guerre . La violence politique s'exprime également en dehors de conflits armés, par exemple au travers du contrôle social  exercé par l'État ou une de ses réponses, la menace de violence envers soi-même. L'usage du concept de « violence politique » a pour objectif de prendre de la distance par rapport au caractère légitime ou non de son expression pour au contraire se focaliser sur son caractère coercitif (l'usage de la force ou sa menace) et sur les moyens pour la réguler. L'étude de la « violence politique » s'intéresse à la place de l'usage de la force dans les systèmes politiques, démocratiques ou non. Les premiers travaux remontent aux années 1970  avec Ted Robert Gurr  et Harold L. Nieburg . Ce dernier en particulier lui a donné une définition souvent reprise à savoir : « les actes de désorganisation, destruction, blessures, dont l'objet, le choix des cibles ou des victimes, les circonstances, l'exécution, et/ou les effets acquièrent une signification politique, c'est-à-dire tendent à modifier le comportement d'autrui dans une situation de marchandage qui a des conséquences sur le système social ». Cette approche est liée à la volonté de nombreux auteurs, principalement américains, de ne prendre en compte dans la « violence politique » que « des actes quantifiables et mesurables », par exemple les nombres d'émeutes ou de grèves..., pour extraire le concept « de tout contexte normatif d'évaluation et de jugement »

Tout pouvoir, quel qu’il soit, détient une autorité. On le qualifiera d’autoritaire s’il utilise arbitrairement la violence. On parle d’autoritarisme d’abord quand un pouvoir abuse de son autorité en usant plus de la force que de la persuasion. Mais si l’abus d’autorité peut le rendre illégitime à nos yeux d’occidentaux, ce n’est pas nécessairement le cas aux yeux des populations qu’il peut concerner.

On peut considérer que toute forme de contrôle social qui barre une aspiration, impose des opinions ou des comportements, perturbe une trajectoire sociale ou un cadre de vie et qui s’impose massivement à un ensemble d’individus ou à un groupe social est une forme de violence politique, ceci qu’elle soit ou non ressentie comme telle.

dissertation violence politique

  • Ecoles de commerce et de management
  • Choisir son école
  • Notre sélection d'écoles
  • Les critères pour choisir
  • S’inscrire jusqu’en septembre et les rentrées décalées
  • Visa, labels, accréditations
  • Double compétence et doubles diplômes
  • Partir à l’international
  • Alternance et apprentissage
  • Financer ses études
  • Classements
  • Comprendre les classements
  • Financial times
  • L'Etudiant
  • Classement de Shanghai
  • Carrières et débouchés
  • Salons Studyrama
  • Choisir sa spécialité
  • Gestion, finance, banque, comptabilité
  • Juridique, social, économie, management
  • Luxe, mode, culture
  • Marketing, communication
  • Commerce, vente
  • Tourisme, Hôtellerie, Restauration
  • Ressources humaines
  • Entrepreneuriat
  • Management du sport
  • Réussir ses concours
  • Préparer les concours
  • Entretien de motivation
  • Présenter son projet professionnel
  • Dossier d’admission
  • Le bachelor en 3 ans
  • Les BBA et les écoles en 4 ans
  • Les écoles en 5 ans
  • Les concours post-bac
  • Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE)
  • Tout savoir sur Parcoursup
  • Après prépa
  • Après bac+2+3
  • Tout savoir sur les admissions parallèles
  • Les concours post-bac+2+3
  • MSc et masters
  • Réussir le Tage 2
  • Après bac+4+5
  • Intégrer une école post-bac+4
  • Mastères spécialisés
  • Autres masters
  • Réussir son admission
  • Réussir le Tage Mage
  • Ecoles d’ingénieurs
  • Ingénieure au féminin
  • Habilitation, certifications, labels
  • Industries et technologies
  • Usine Nouvelle
  • Classement de Shangai
  • S'inscrire jusqu'en septembre et les rentrées décalées
  • Aéronautique, automobile, spatial
  • Agriculture, agroalimentaire, sciences de la vie
  • BTP et Génie civil
  • Chimie, physique, mathématiques, sciences de la matière
  • Data sciences
  • Energie, environnement, sciences de la Terre
  • Génie industriel et sciences technologiques
  • Informatique et Numérique
  • Mécanique, matériaux
  • Transport, logistique
  • Filières spécialisées et connexes
  • Réussir les oraux
  • Le Bachelor en 3 ans
  • Intégrer une école post-bac
  • Les cycles préparatoires
  • Après Prépa
  • Intégrer une école post-prépa
  • Les concours post-prépa
  • Tout savoir sur la procédure SCEI
  • Intégrer une école après bac+2+3
  • Les concours après bac+2+3
  • Intégrer une école après un bac+4
  • Espace prépas
  • Vivre sa prépa
  • Choisir son PGE
  • Stages linguistiques
  • Reportages dans les écoles
  • Audencia Business School
  • Brest Business School
  • Burgundy School of Business
  • EM Normandie
  • EM Strasbourg
  • ESC Clermont
  • ESCP Europe
  • Emlyon business school
  • Grenoble École de Management
  • ICN Business School
  • INSEEC Business school
  • Institut Mines-Télécom Business School
  • KEDGE Business School
  • La Rochelle Business School
  • Montpellier Business School
  • NEOMA Business School
  • Rennes School of Business
  • SKEMA Business School
  • Toulouse Business School
  • Sujets et corrigés des concours BCE et Ecricome
  • Culture générale
  • Economie / Droit
  • HGGMC/ESH/Economie
  • Les Annales des concours
  • Les cartes de géopolitique
  • Mathématiques
  • Oral culture générale
  • Prépa Littéraire
  • Comprendre la BEL
  • Connaître les écoles
  • Préparer le concours
  • Témoignages
  • Corrigés BCE et Ecricome
  • Réussir Tage mage
  • Rencontrez un conseiller en Orientation
  • Annales-Bankexam
  • E-shop Librairie
  • Formation continue
  • Thème de l'année: L'image

8 – La violence/Méthodologie : le dialogue contre la violence ?

 8 – La violence/Méthodologie : le dialogue contre la violence ?

Est-ce que le dialogue pourrait stopper la violence ? Instaurer une paix avec des mots est-ce si simple ? Les humains réussissent-ils à dialoguer ? Veulent-ils tous le pouvoir ? Est-il possible de mettre en place une paix durable ? Véronique Bonnet vous permet de mieux comprendre ce sujet.

Comment réussir votre épreuve de culture générale ? Grâce à l'ouvrage La violence en 25 dissertations , qui est écrit par Véronique Bonnet et publié par Studyrama ! Grâce à ses 25 dissertations rédigées, sa méthodologie, ou encore ses références et citations, celui-ci vous y permettra.

Sujet : le dialogue contre la violence ?

Une démocratie n’a pas à tout savoir sur la totalité de ses citoyens. Ou alors, c’est une démocrature. La démocratie, gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple, doit laisser son peuple respirer, avoir une vie privée. On retrouve ici les préoccupations des philosophes des Lumières lorsqu’ils craignaient que certains dispositifs politiques ou cosmopolitiques n’amènent les gouvernants à une parole fallacieuse ou sophistique.

Véronique Bonnet vous permet de mieux comprendre cette thématique. Découvrez son analyse ci-dessous.

Si vous souhaitez télécharger l'ouvrage gratuitement, c'est juste ici !

A lire également

dissertation violence politique

  • Afficher plus

Sur le même thème

dissertation violence politique

  • Bibliography
  • More Referencing guides Blog Automated transliteration Relevant bibliographies by topics
  • Automated transliteration
  • Relevant bibliographies by topics
  • Referencing guides

Dissertations / Theses on the topic 'Politics of violence'

Create a spot-on reference in apa, mla, chicago, harvard, and other styles.

Consult the top 50 dissertations / theses for your research on the topic 'Politics of violence.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

Sewell, Regina. "Violent politics and the politics of violence: The criminalization of anti-lesbian/gay violence /." The Ohio State University, 1997. http://rave.ohiolink.edu/etdc/view?acc_num=osu1487945320759.

Khnifess, Amir. "Israel and the Druze political action : between politics of loyalty and politics of violence." Thesis, SOAS, University of London, 2015. http://eprints.soas.ac.uk/22832/.

Boserup, Rasmus Alenius. "Violence as politics : the escalation and de-escalation of political violence in Algeria 1954-2007." Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0358.

O'Duffy, Brendan. "Violent politics : a theoretical and empirical analysis of two centuries of political violence in Ireland." Thesis, London School of Economics and Political Science (University of London), 1996. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.338387.

Pitts, Teresa Ann. "Politics as Violence: A Girardian Analysis of Pre-Genocide Rwandan Politics." Thesis, Virginia Tech, 2011. http://hdl.handle.net/10919/32533.

Davidson, Jamie Seth. "Violence and politics in West Kalimantan, Indonesia." Thesis, Connect to this title online; UW restricted, 2002. http://hdl.handle.net/1773/10787.

Popescu, Monica. "The politics of violence in post-communist films." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk1/tape9/PQDD_0016/MQ52637.pdf.

Schwarz, Elke. "The biopolitical condition : re-thinking the ethics of political violence in life-politics." Thesis, London School of Economics and Political Science (University of London), 2013. http://etheses.lse.ac.uk/760/.

Sives, Amanda. "Violence and politics in Jamaica : an analysis of urban violence in Kingston, 1944-1996." Thesis, University of Bradford, 1998. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.633445.

de, Pretis Maura. "Women, politics and political violence in Northern Ireland : a study in historical feminist criminology." Thesis, University of Bristol, 2001. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.368719.

Silva, Tais Cerqueira. "The Medicalisation of Domestic Violence; Medical discourses on Violence Against Women and Their Translation into Politics." Thesis, University of Bristol, 2008. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.520586.

Tatsuni, Kayoko. "Coalition politics, ethnic violence and citizenship : Muslim political agency in Meerut, India, c.1950-2004." Thesis, London School of Economics and Political Science (University of London), 2009. http://etheses.lse.ac.uk/2556/.

Morrow, Marina Helen. "Feminist anti-violence activism, the struggle towards multi-centred politics." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1997. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp02/NQ27701.pdf.

Turcotte, Heather M. "Petro-sexual politics : global oil, legitimate violence and transnational justice /." Diss., Digital Dissertations Database. Restricted to UC campuses, 2008. http://uclibs.org/PID/11984.

Smith, Lindsey Marie. "The Politics of Social Intimacy| Regulating Gendered and Racial Violence." Thesis, The University of Alabama, 2018. http://pqdtopen.proquest.com/#viewpdf?dispub=10784120.

This project explores the constructions of gender, intimacy, and race and the ways these issues are informed by history and the law. The idea of consent, while originally described in texts as a legal concept between citizens, transformed into a way to navigate intimate relationships in the private sphere. This muddied the ways women and men were understood to form relationships and the limits of those relationships. In the same ways that gender was arbitrated through legal language, race is often ensnared in the same processes and institutions. Tolerance has been offered as one approach, but instead of mitigating this violence, it has more firmly entrenched it into the democratic process. Hannah Arendt’s description of the social frames an understanding of intimacy and narratives. Arendt’s work critically creates a space for the category of the social, something found around but outside of the public and private. Instead of working to make the private seen as a sphere for political action, I will focus on the potential of the social as a method of political action. While Arendt has obvious racial bias, I will use her own response to anti-semitism to develop a different approach to Black politics that allow for identity-based responses. Lauren Berlant’s Intimate Publics addresses the potential for coalition building in the social. Using the sorority system as a way of teasing out notions of femininity, discipline, sexual violence, and intimacy, I will describe the ways that a woman subject is produced and how this then works to shape our notions of race. Women’s identities, particularly white women, are constructed through an association with race and sexuality, by unpacking this development, its possible to see how this is socially and institutionally enforced. Part of this enforcement will focus on the narratives of sexual violence. Rape is an issue that not only confronts legal questions, but also the nature of a woman’s ability to participate in democracy. Tying this together will be the importance of political theory. This serves to define the contemporary issues, solutions that have been offered and new potential approaches to intimate violence.

Judge, Melanie. "Violence against lesbians and (IM) possibilities for identity and politics." University of the Western Cape, 2015. http://hdl.handle.net/11394/4775.

Cox, Wayne S. "States, social systems and violence : a socio-centric conceptualization of structural violence." Ottawa, 1990.

Arredondo, Lizett. "Violence in Contemporary Mexico and the Role of the United States." Scholarship @ Claremont, 2014. http://scholarship.claremont.edu/cmc_theses/857.

Gautam, Bhaskar. "Structuring of Communism in Nepali Politics." 京都大学 (Kyoto University), 2014. http://hdl.handle.net/2433/188858.

Camilli, Coralie. "Messianisme, violence et conversion." Thesis, Paris Est, 2016. http://www.theses.fr/2016PESC0011.

Sherman, Taylor Corpus. "The politics of punishment and state violence in India 1919-1956." Thesis, University of Cambridge, 2006. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.442495.

Oelgemoller, Eva Christina. "Migration management : the radical violence of the international politics of migration." Thesis, University of Sussex, 2012. http://sro.sussex.ac.uk/id/eprint/39688/.

Ruiz, Guarın Nelson Alejandro. "Essays on violence, money in politics, and electoral system in Colombia." Thesis, London School of Economics and Political Science (University of London), 2017. http://etheses.lse.ac.uk/3693/.

Iwilade, Akin. "Youth networks and violence in the Niger Delta." Thesis, University of Oxford, 2016. https://ora.ox.ac.uk/objects/uuid:1696a13c-b02a-4d01-bc7c-0a15920c875d.

Thomas, Claire. "Questioning the efficacy of violence to achieve security : the 1991 Gulf War." Thesis, University of Hull, 2007. http://hydra.hull.ac.uk/resources/hull:7056.

Chapman, John. "Predatory War: A History of Violence." Honors in the Major Thesis, University of Central Florida, 2013. http://digital.library.ucf.edu/cdm/ref/collection/ETH/id/1552.

Bernard, Julia M., Martha Copp, and Vicki Powers. "Gun Violence and Gun Sense." Digital Commons @ East Tennessee State University, 2017. https://dc.etsu.edu/etsu-works/937.

Fonder-Solano, Leah Jean. "Sex, violence and politics: Eroticism in the work of Cristina Peri Rossi." Diss., The University of Arizona, 1997. http://hdl.handle.net/10150/289489.

Monforton, Hazel Elizabeth. "Violence and The Mirror : mimetic theory and gender politics in modern fiction." Thesis, Durham University, 2018. http://etheses.dur.ac.uk/12639/.

Fromet, De Rosnay Amandine. "Kenya and the ICC: the politics of the 2007 post-election violence." Master's thesis, University of Cape Town, 2013. http://hdl.handle.net/11427/14053.

Saenko, Michael Mark. "Building hegemony : the evolution of power and violence in Morocco." Thesis, University of Cambridge, 2015. https://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.709035.

Kaul, Sharika. "Sexual Violence Against Women in India: The Role of Public Policy and Social Media in the Persistence of Sexually Violent Crimes." Scholarship @ Claremont, 2016. http://scholarship.claremont.edu/scripps_theses/739.

Leader, Maynard Jonathan. "Ideologies and mass violence : the justificatory mechanics of deadly atrocities." Thesis, University of Oxford, 2014. http://ora.ox.ac.uk/objects/uuid:069038eb-ffbe-4d31-8f17-8dc2dc67539e.

Potgieter, Lauren. "Bad office politics: victimisation and intimidation in the workplace." University of the Western Cape, 2013. http://hdl.handle.net/11394/4830.

Stefatos, Katherine. "Engendering the nation : women, state oppression and political violence in post-war Greece (1946-1974)." Thesis, Goldsmiths College (University of London), 2011. http://research.gold.ac.uk/8057/.

Pereverzin, Yevgeny. "Gun Violence And The Path To Reform For American Citizens." Scholarship @ Claremont, 2014. http://scholarship.claremont.edu/cmc_theses/948.

Rhyne, James Michael. "Rehearsal for redemption the politics of post-emancipation violence in Kentucky's bluegrass region /." Cincinnati, Ohio : University of Cincinnati, 2006. http://www.ohiolink.edu/etd/view.cgi?acc%5Fnum=ucin1171374749.

Jackman, David Glenn. "Living in the shade of others : intermediation, politics and violence in Dhaka city." Thesis, University of Bath, 2017. https://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.723337.

RHYNE, JAMES MICHAEL. "REHEARSAL FOR REDEMPTION: THE POLITICS OF POST-EMANCIPATION VIOLENCE IN KENTUCKY'S BLUEGRASS REGION." University of Cincinnati / OhioLINK, 2007. http://rave.ohiolink.edu/etdc/view?acc_num=ucin1171374749.

McDoom, Omar Shahabudin. "The micro-politics of mass violence : authority, security, and opportunity in Rwanda's genocide." Thesis, London School of Economics and Political Science (University of London), 2009. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.529310.

Timmer, Sanne. "Causal factors of election violence in Africa : a comparative analysis of Kenya´s 2007 elections and Zimbabwe´s 2008 elections." Thesis, Stellenbosch : Stellenbosch University, 2012. http://hdl.handle.net/10019.1/20394.

Harris, Jonathan Andrew. "Three Essays on Politics in Kenya." Thesis, Harvard University, 2012. http://dissertations.umi.com/gsas.harvard:10572.

van, Baalen Miriam. "Beyond Bullets and Ballots : A theoretical inquiry on sexualised election violence." Thesis, Uppsala universitet, Statsvetenskapliga institutionen, 2019. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:uu:diva-377322.

Watson, Jenkins Eleanor Lynn. "Active inaction--symbolic politics, agenda denial or incubation period twenty years of U.S. workplace violence research and prevention activity /." Morgantown, W. Va. : [West Virginia University Libraries], 2006. https://eidr.wvu.edu/etd/documentdata.eTD?documentid=4694.

Voronkova, Anastasia. "Understanding the dynamics of ethnonationalist contention : political mobilization, resistance and violence in Nagorno-Karabakh and Northern Ireland." Thesis, Queen Mary, University of London, 2012. http://qmro.qmul.ac.uk/xmlui/handle/123456789/2516.

Herberg-Rothe, Andreas. "Gewalt und Ordnung : zur Aktualität eines alten Diskurses." Universität Potsdam, 2004. http://opus.kobv.de/ubp/texte_eingeschraenkt_welttrends/2010/4638/.

Castro, Luis Gabriel Rojas. "Towards radical politics without ressentiment : problematizing the intensification and proliferation of violence in Mexico." Thesis, University of Essex, 2015. http://ethos.bl.uk/OrderDetails.do?uin=uk.bl.ethos.702116.

Yan, Fei. "The politics of factional conflict and collective violence : the Cultural Revolution in Guangzhou, 1966-1968." Thesis, University of Oxford, 2014. http://ora.ox.ac.uk/objects/uuid:9d95e1f0-91f4-4244-8a08-1cc536d9e21b.

ALVES, FERNANDA BARRETO. "FROM BODY POLITIC TO BODY-POLITICS: SEXUAL VIOLENCE AS A PRACTICE OF EXCLUSION OF DIFFERENCE IN THE RWANDAN GENOCIDE OF 1994." PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2011. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=19505@1.

Riikonen, Katja. "Beyond the Sipahs, Jaishs and Lashkars : sectarian violence in Pakistan as reproduction of exclusivist sectarian discourse." Thesis, University of Bradford, 2012. http://hdl.handle.net/10454/7326.

IMAGES

  1. Violences politiques

    dissertation violence politique

  2. Dissertation : Violence Against Women

    dissertation violence politique

  3. RIVALITE POLITIQUE , VIOLENCE POLITIQUE:Le Phénomène des Réseaux Sociaux Enflamme La violence ci

    dissertation violence politique

  4. Dissertation sur la violence

    dissertation violence politique

  5. La Violence politique vue par les historiens du Moyen- à l'Extrême-Orient: Amazon.co.uk: Cheng

    dissertation violence politique

  6. États d’urgence ethnographiques » : Approches empiriques de la violence politique‪

    dissertation violence politique

COMMENTS

  1. Sociologie Politique Explication de la Violence Politique

    Les démocraties, et particulièrement ici la France, fait face à des formes plus nouvelles de violence politique. A. Des formes plus nouvelles de la violence politique 1) Des violences liées à la question sociale. En France, la délinquance est devenue un problème directement politique de par son association avec la nouvelle question sociale.

  2. La violence, un outil politique - Dissertation - Constance de ...

    La violence politique est un concept utilisé en sciences sociales et politiques qui fait référence à « des destructions ou des atteintes physiques dont le but, le choix des cibles ou des victimes, la mise en œuvre et/ou l'effet ont une signification politique et tendent à modifier le comportement des protagonistes dans une situation de ...

  3. La violence en 25 dissertations : un ouvrage indispensable

    Dans le manuel "La violence en 25 dissertations", vous retrouverez 25 dissertations rédigées, de la méthodologie, ou encore des conseils qui sont adaptés au thème de Culture Générale de Prépa EC 2023-2024 : la violence. Grâce à cet ouvrage, vous brillerez le jour de votre épreuve !

  4. Dissertations / Theses: 'Violence politique' – Grafiati

    List of dissertations / theses on the topic 'Violence politique'. Scholarly publications with full text pdf download. Related research topic ideas.

  5. La violence politique - 3632 Mots | Etudier

    * 2) Typologie. * 3) Trois formes de violence politique. II. Les différentes logiques de la violence politiques * 1) Construction et affirmation identitaire par la violence. * 2) Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation. * 3) P. Braud, la dimension émotionnelle des acteurs dans la violence politique.

  6. De la violence politique en démocratie | Cairn.info

    De nouveaux mouvements sociaux de défense des droits de l’homme comme les Mères de la place de Mai ont contribué à fixer une limite morale forte à l’usage de la violence en politique. 6La violence ne prend plus les formes typiques de l’avant 1983. Les forces armées ne préparent plus des coups d’État et ne sont donc plus des ...

  7. le dialogue contre la violence - Studyrama Grandes Ecoles

    Comment réussir votre épreuve de culture générale ? Grâce à l'ouvrage La violence en 25 dissertations, qui est écrit par Véronique Bonnet et publié par Studyrama ! Grâce à ses 25 dissertations rédigées, sa méthodologie, ou encore ses références et citations, celui-ci vous y permettra. Sujet : le dialogue contre la violence ?

  8. Légitimer, rationaliser, expliquer la violence politique

    Légitimer, rationaliser, expliquer la violence politique 241 Recourir à la violence n’a rien d’insignifiant ni de systématique. L’engagement violent requiert des grilles d’analyse que n’épuise pas l’engagement commun. La déci - sion d’engagement dans l’activisme à faible ou haut risque4 suppose d’assumer — et

  9. La Violence Présupposé 2 : Dissertation - KlubPrepa

    La Violence Dissertation Présupposé 2 : la vØritable rØalitØ politique est un ordre politique sans violence, caractØrisØ par l’Øtat de droit, oø non seulement les relations entre les hommes sont soumises au droit, mais oø la vie mŒme des hommes fait l’objet du droit I.3. Analyse du sujet : Premier niveau d'analyse :

  10. Dissertations / Theses: 'Politics of violence' – Grafiati

    List of dissertations / theses on the topic 'Politics of violence'. Scholarly publications with full text pdf download. Related research topic ideas.